Au début, fut la création.
Dieu créa l’univers en sept jours, il créa les cieux, les soleils, les planètes, l’Homme et les autres êtres vivants.
Il élit l’homme parmi tous les être qu’il à crée pour lui accorder une âme. Au premier test, l’Homme échoua et fut déchu sur terre. Les choses auraient pu aller mieux, mais l’Homme préféra persévère dans le pêcher.
Dieu envoya ses prophètes pour ramener l’Homme au droit chemin, à chaque fois l’Homme récidiva.
L’homme a pu progresser sur terre, sur les deux chemins contradictoires du bien et du mal, ainsi le même être qui guérit le matin, se voit tuer le soir.
Au fils du temps que l’homme à passé sur terre, guerres et grandes découvertes se succédèrent, des découvertes qui ont permis d’éradiquer les maladie les plus vérulantes et à étendre les limites de l’être humain en le
permettant d’aller plus vite, de naviguer, de voler, de quitter la terre et
surtout de communiquer.
La science a servi la mort par le développement d’armes de plus en plus destructives. La première arme, utilisée sur terre, était une pierre et la dernière une bombe aussi dévastatrice que la dernière ère galciére.
Posséder, est le verbe qui à obsédé l’homme, qui l’a mené par le bout du nez à se déposséder du meilleur de lui-même et de la planète qui l’a vu naître. L’homme s’est dépossédé des arbres pour posséder la terre, il s’est dépossédé de l’air pour posséder l’énergie, il s’est dépossédé de son âme pour posséder un compte en banque.
Ainsi l’homme a pu voir au plus profond de l’univers, les étoiles les plus lointaines, mais, il n’a jamais pu voir dans son cœur, tout l’amour qui était capable de partager.
Il y’a cinq ans déjà, à mes trente ans, j’étais mis à la retraite. Un accident de parcours, a réduit mes capacités psychologiques à tuer. Sur mes fiches d’identité, ma fonction était « militaire » , mais la vérité, J’étais chef d’équipe d’une unité d’élite chargée des opérations secrètes .
Une erreur de cible m’a démoralisé, et m’a rendu psychologiquement incapable de remplir correctement mes fonctions.
Une auto méditation par la méditation, m’a permis de me reprendre suffisamment pour redevenir « embochable ». J’ai accepté le post de formateur de survie dans les milieux hostiles, dans l’académie où j’ai fait mes études pour devenir ce que j’étais.
Et soudain, la folie de l’homme s’est déchaînée, et la guerre a éclaté, une guerre aussi rapide que meurtrière.
Des centaines de bombes de toute nature ont été largués dans tous les sens. Les élus qui promirent la prospérité aux électeurs ont apporté la mort !
En ce dernier jour d’école, avant les vacances de fin d’année, j’étais entrain de faire la dernière inspection de l’équipement de survie, dans les tunnels
de survie, creusé par les élèves commandos, quand une vague de chaleur
m’a fait évanouir. Je me suis réveillé le lendemain, sauvé de l’irradiation par l’équipement de survie que je portais, mais complètement sonné par la déflagration, je me suis réfugié dans le bunker d’entraînement, tout seul pendant une semaine.
En sortant j’ai constaté que les survivants étaient quasi-inexistants, de
toute ma famille il ne restait plus personne, de mes amis et collègues aussi.
Le soir, un feu de détresse a attiré mon attention « en fin un survivant ! » je me suis dit, j’ai pris le chemin, pour le joindre. Le pas let, le ventre vide, j’ai la direction de cette flamme qui tombe comme une feuille d’automne.
A l’aube, entièrement épuisé, j’y étais. C’était un point de ralliement une quinzaine de personnes y était, les uns plus en forme que les autres, tous tristes et meurtris. Un homme, micro en main hurlait :
« Ce ci est la dernière annonce pour la dernière navette qui va quitter la terre, destination mars. La vie sur terre est devenue impossible, mais le voyage est dangereux….. » Le discours était long, j’ai oublié le reste.
J’ai pris la navette, comme beaucoup d’autres, laissant derrière moi une planète morte, une histoire d’une race vouée à l’exil, pour survivre, dans l’espoir du retour.
Arrivé sur mars, et accueilli par les premiers arrivants, j’ai d’abord passé la visite médicale, où on m’a signalé un affaiblissement général dû aux effets de l’explosion, du voyage et du changement des conditions de vie. On m’a aussi expliqué que c’était normal, pendant cette étape de fragilité la direction de la firme fera tout le nécessaire et m’accordera une protection spéciale, vu le danger des certains vils terraformeurs.
Après l’équipe de contrôle médical, c’était le tour de du contrôle de sécurité. On m’a fait entrer dans un bureau, un agent de sécurité a vérifié tous mes papiers avant de lever la tête :
- Humm, un militaire ! tu viens te battre ?
- Non, je viens bâtir.
Ensuite il m’a remis une pièce d’identité, communément appelé TEM CARD, qui servait aussi de carte de crédit, un manuel expliquant les lois et les règles régissant la communauté .
Après une rapide visite au bunker qui m’a été affecté et de l'equipement de base mis à ma disposition, je suis allé directement au bar, lieu de rencontre incontournable de toute la communauté.
Mon entrée est passée inaperçue, les nouveaux arrivant passent, seuls les meilleurs restent, alors qui s’attacherais à ce bronzé non encore acclimaté aux conditions de gravité de survie dans ce milieu.
Assis au comptoir, car les tables étaient le privilèges des anciens, chacune portait la gravure de son syndicat. Et en attendant une bière j’ai abordé un passant. Il s’est montré gentil est accueillant, il s’est donné la peine de repousser les limites de mon ignorance.
Il s’appelle Wifi. De fil en aiguille, ce discret boss, a su éveiller en moi la volonté de survie, il m’a invité a sa table, et depuis je suis son débiteur.
Passionné de nature, je me suis mis a terraformer comme un fou, mon corps s’acclimate de mieux en mieux, mais, pas encore suffisamment et mes connaissances et mes amis aidant, mon intégration sur mars, se fait a pas rapide.
[ pour des raisons de securité la suite est classée TOP SECRET, pour les interessés qui sont habilités au secret merci de me laisser un MP ]
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